Tensiones en Ucrania | Kiev exhorte les Occidentaux à être «fermes» avec la Russie
(Kiev) L’Ukraine an appelé samedi les Occidentaux à être «fermes» dans leurs négociations avec la Russie, acusée de préparer une invasion du pays, alors que Washington maintenait la pression en annonçant l’envoi de’Eatsst Europe .
Publicado a las 11h56
Les tensions sont au plus haut depuis fin 2021 autour de l’Ukraine, aux frontières desquelles Moscou a massé des dizaines de milliers de soldats. Si la Russie se defiende de todo el proyecto de ataque, elle exige des garanties pour sa securité, dont le rejet d’une adhésion de Kiev à l’OTAN.
Cette demande clé a été rejetée par les États-Unis cette semaine dans une réponse écrite à Moscou. Mais la porte reste ouverte à des négociations, le Kremlin ayant dit vouloir prendre le temps d’analyser la réponse de Washington.
Lors d’una conversación telefónica con su homólogo francés Jean-Yves Le Drian, el ministro ucraniano des Affaires étrangères Dmytro Kouleba a appelé samedi les Occidentaux à « être vigilants et fermes dans les les contacts viet vec » et diplomaticique » de la crise.
Il aussi appelé à «éviter les mesures susceptibles d’alimenter l’anxiété» et de «compromettre la stabilité financière» de cette ex-république soviétique, l’un des pays les plus pauvres d’Europe.
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Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba
Ces propos font écho à ceux du président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui a exhorté vendredi à à ne pas semer la «panique» face au déploiement de quelque 100 000 soldats russes aux frontiéres, alors que pluses-Unis les és on paysés de leur diplomaticts.
Des renforts américains mais « pas beaucoup »
Le président américain Joe Biden maintenait pour sa part la pression en annonçant l’envoi prochain d’un contingent de soldats en Europe de l’Est, une nouvelle qui ne manquera pas d’irriter Moscou, qui dénonce le renforcement de l’Alliance ses frontières depuis vingt ans.
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El presidente americano, Joe Biden
«Je vais envoyer des troupes américaines en Europe de l’Est et dans les pays de l’OTAN prochainement», annoncé vendredi M. Biden, dont le pays a déjà place 8500 militaires en alerte pour renforcer l’OTAN. Il a cependant ajouté que ces soldats ne seraient « pas beaucoup » ».
La France a elle annoncé l’envoi de «plusieurs centaines» de soldats en Roumanie, pays frontalier.
Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian et son homologue allemande Annalena Baerbock sont attendus in Ukraine les 7 et 8 février.
A Londres, Boris Johnson dice «determinar para acelerar los esfuerzos diplomáticos y reforzar la disuasión para evitar una efusión de sangre en Europa». Le premier ministre britannique doit s’entretenir dans les prochains jours avec Vladimir Poutine, avant un déplacement dans la région.
Pour sa part, le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki est attendu mardi à Kiev. «La Pologne soutient l’Ukraine pour empêcher l’agression de la Russie», un tweeté le porte-parole du gouvernement polonais Piotr Muller.
S’estimant menacée par l’élargissement continu de l’OTAN à ses frontières et par le soutien occidental à l’Ukraine, la Russie souhaite un retour des déploiements militaires aux frontières de 1997. -Unis et l’OTAN.
«Les réponses des États-Unis et de l’OTAN n’ont pas tenu compte des inquiétudes fondamentales de la Russie», un relevé le Kremlin vendredi, à l’issue d’una conversación entre Vladimir Poutine et le Macronisré Emsman frança.
La amenaza de sanciones
«Le président Poutine n’a exprimé aucune intencion ofensiva», a noté la présidence française, ajoutant que les deux dirigeants avaient convenu de la «nécessité d’une désescalade».
Les Européens et les Américains ont promis des sanctions sans précédent en cas d’attaque contre l’Ukraine.
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Ont été évoqués le gazoduc stratégique Nord Stream 2 entre la Russie et l’Allemagne, ou encore l’accès des Russes aux transacciones en dólares, la monnaie reine dans les échanges internationaux.
Les États-Unis ont par ailleurs saisi jeudi le Conseil de sécurité de l’ONU, réclamant une réunion lundi en raison de la «menace claire» que fait peser à leurs yeux la Russie et sur la internationales la paix».
De son côté, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, an assuré que la Russie ne voulait «pas de guerre» et préférait la «voie de la diplomatie».
Moscou avait prévenu qu’un rejet de ses demand allait se traduire par des représailles, sans plus de précisions.
Des députés russes ont proposé que Moscou reconnaisse l’indépendance des territoires séparatistes prorusses en Ukraine, qui combattent les forces de Kiev depuis 2014, et qu’elle leur fournisse ouvertement des armes.
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